En 2007, le gouvernement wallon créait un véritable service de police de l’environnement : l’Unité de répression des pollutions. À la suite d’un audit externe, les fonctionnaires du Département de la police de l’environnement (DPE) qui avaient œuvré jusque-là étaient jugés bien trop peu répressifs par l’ex-ministre de tutelle, le « démocrate-humaniste » Benoît Lutgen. La création de l’URP visait donc à siffler la fin de la récréation pour les grands pollueurs et les acteurs de la criminalité environnementale organisée actifs sur le sol wallon. Cinq ans plus tard, malgré d’excellents résultats salués tant par des responsables politiques que judiciaires, l’URP a été décapitée par le sommet de l’administration wallonne, et certaines langues se délient…

Une enquête publiée dans Paris-Match (Belgique), le 24 janvier 2013. Pour la lire, en format PDF, cliquer sur le lien suivant : URP
Des compléments à cette enquête avaient déjà été publiés sur ce site : La nouvelle guerre des polices – compléments (24/01/2013)
En 2007, le gouvernement wallon créait un véritable service de police de l’environnement : l’Unité de répression des pollutions. À la suite d’un audit externe, les fonctionnaires du Département de la police de l’environnement (DPE) qui avaient œuvré jusque-là étaient jugés bien trop peu répressifs par l’ex-ministre de tutelle, le « démocrate-humaniste » Benoît Lutgen. La création de l’URP visait donc à siffler la fin de la récréation pour les grands pollueurs et les acteurs de la criminalité environnementale organisée actifs sur le sol wallon. Cinq ans plus tard, malgré d’excellents résultats salués tant par des responsables politiques que judiciaires, l’URP a été décapitée par le sommet de l’administration wallonne, et certaines langues se délient…

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En 2007, le gouvernement wallon créait un véritable service de police de l’environnement : l’Unité de répression des pollutions. À la suite d’un audit externe, les fonctionnaires du Département de la police de l’environnement (DPE) qui avaient œuvré jusque-là étaient jugés bien trop peu répressifs par l’ex-ministre de tutelle, le « démocrate-humaniste » Benoît Lutgen. La création de l’URP visait donc à siffler la fin de la récréation pour les grands pollueurs et les acteurs de la criminalité environnementale organisée actifs sur le sol wallon. Cinq ans plus tard, malgré d’excellents résultats salués tant par des responsables politiques que judiciaires, l’URP a été décapitée par le sommet de l’administration wallonne, et certaines langues se délient…

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En 2007, le gouvernement wallon créait un véritable service de police de l’environnement : l’Unité de répression des pollutions. À la suite d’un audit externe, les fonctionnaires du Département de la police de l’environnement (DPE) qui avaient œuvré jusque-là étaient jugés bien trop peu répressifs par l’ex-ministre de tutelle, le « démocrate-humaniste » Benoît Lutgen. La création de l’URP visait donc à siffler la fin de la récréation pour les grands pollueurs et les acteurs de la criminalité environnementale organisée actifs sur le sol wallon. Cinq ans plus tard, malgré d’excellents résultats salués tant par des responsables politiques que judiciaires, l’URP a été décapitée par le sommet de l’administration wallonne, et certaines langues se délient…

Une enquête publiée dans Paris-Match (Belgique), le 24 janvier 2013. Pour la lire, en format PDF, cliquer sur le lien suivant : URP
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